LES MARAUDEUSES
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 Edward Lane

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AuteurMessage
Edward Lane
Serpentard - Cinquième annéeSerpentard - Cinquième année
Edward Lane


Nombre de messages : 3
Age : 31
Maison et niveau : Serpentard - Ciqsuième année
Date d'inscription : 30/12/2006

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MessageSujet: Edward Lane   Edward Lane Icon_minitimeSam 30 Déc - 19:10

Nom : Lane

Prénom(s) : Edward Adam

Date de naissance + âge : 3 Janvier , 15 ans

Sexe : Masculin


Physique :

Ed a les cheveux noirs, raides, coupés plutôt courts - ils lui arrivent à peu près juste au dessus du menton, et pas vraiment coiffés, enfin, disons que s'il les coiffe, ça ne se voit pas tellement.
Ses yeux sont verts, grands, et il a de long cils "Ed, tu as des yeux de fille".
Son visage est fin et assez "triangulaire"; sa peau est pâle. Il tire tout le temps la gueule, sauf quand quelque fois par hasard il ouvre la bouche pour parler, ou même pour sourire - évènement.
Il mesure un mètre soixante-treize, est mince, n'a pas d'épaules carrées, un cou fin, des mains fines, les bras pendants dont il ne sait que faire.
Il a une cicatrice dans le haut du dos, juste à la fin de la nuque, qui a la forme d'un croissant de Lune, souvenir d'un incident dont il préfèrerait de pas se souvenir.

Caractère :

Edward est attentionné dans le fond, mais comme il ne dit presque jamais ce qu'il pense c'est difficile de s'en apercevoir. Il est renfermé, timide. Il est aussi très désagréable quand il s'énerve - c'est à dire quand on critique son point de vue, quand on touche à quelque chose qui lui tient à coeur, quand il se sent agressé, et quand il est en face de quelqu'un qu'il aime bien, parfois.
Il n'a confiance en personne et espère que personne n'a confiance en lui, il s'applique d'ailleurs à faire en sorte que ce soit le cas.
Il aurait bien aimé être méchant, égocentrique, insensible et imperméable, mais il s'est rapidement aperçu que ce n'est pas du tout le cas, et qu'il avait même une fâcheuse et gênante tendance à s'inquiéter pour les autres : pas tous, mais quand même trop.
Il pleure pour rien, et essaye de faire en sorte que ça ne se remarque pas "fous-moi la paix!", "laisse-moi tranquille", "c'est rien" et "je me suis juste fait mal" sont les phrases qu'il a le plus utilisé durant la partie déjà vécue de son existence.
Il est asocial, il déteste devoir être dans un groupe, hais les foule, ne supporte pas les attroupements, abhorre les équipes. Les jeu de sociétés, les jeux en équipe, le sport : tout ceci l'effraie.
Il est ultra possessif. Il lui arrive de considérer une personne comme sa propriété absolument privée, de faire des crises de jalousies, puis quand il se rend compte à quel point il est stupide et que personne ne lui appartient il pleure.
Il passe sa vie pleurer dans son oreiller et à le mordre. D'ailleurs, il ne pleure que chez lui dans son lit quand il repense à diverses choses. S'il pleure alors qu'il y a des individus autour de lui, c'est une défaite cuisante, un échec monumental : il n'a pas su se contrôler, et que des sentiments trop forts sont remontés.
S'il peut aimer très fort, il déteste également avec force. Il y a eu des gens qu'il ne pouvait pas voir sans en avoir mal à l'estomac tellement il ne les supportait pas.
En bref, il est très émotif mais personne ne le sait.
Il se souvient toujours des gens qu'il a rencontré, ou vu. Par contre, il a l'impression que personne ne se rend jamais compte qu'il existe.
Il est aussi très souvent énervé : pour rien aussi. Parce qu'il déteste tout : les gens, courir, écrire, faire ce qu'on lui dit de faire, rester tranquille...Il n'aime que dormir, jouer de la guitare, chanter, lire et écouter la musique qu'il aime. Bien qu'il déteste bouger ou faire quoi que ce soit de sportif, il semble qu'il ait un côté hyperactif. Il ne peut pas rester immobile : assis dans une salle de théâtre ou de cinéma, il remue les jambes, immobile debout, il se tord les mains q'il n'a pas de poches, il ne sait jamais quoi faire de son corps. Allongé, il se tourne et se retourne.
Il préfère ne pas penser à son futur, et même quand il essaye il a du mal, car il est plutôt du genre à rester enfermé dans son passé, ou à vivre le présent en se disant qu'il ne vaut mieux pas chercher à savoir ce que sera demain, parce que ça fait toujours mal.

Histoire :

Edward est anglais, et vit avec sa famille dans un manoir quelque part autour de Londres.
Il a apprit la guitare classique dès 6 ans, puis s'est mis à l'électrique à 9.
Dès sa petite enfance, il se montra particulièrement peu porté sur les échanges et la communication avec les autres. Il n'aimait pas jouer, il n'aimait pas danser, il n'aimer pas parler avec les autres.
Ses parents pensèrent qu'ils avaient mal fait quelque chose dans son éducation, il subit donc plusieurs psychothérapies qui n'eurent aucun effet, à part peut-être de lui faire constater que certains psychologues dormaient au cours des séances : mais avec lui c'était normal, tant qu'on ne lui posait pas de question précise, il ne disait rien.
Plus tard, à l'école primaire, toujours le même constat :
"- Alors, Ed, tu t'es fais des amis à l'école?
- Non.
- Des copains alors?
- Peut-être."
Et il recommençait à tourner sa fourchette dans son plat.
Mais en CM1, il se trouva une copine. C'était une petite fille appelée Esther qui était très mignonne, très gentille, aussi bonne en classe que lui, mais bonne en sport aussi en plus. Personne ne sut jamais comment, Ed et elle s'étaient liés d'amitié. Mais sa première amitié lui valut bien des tourments.
Il ne comprenait pas pourquoi Esther devait parler à d'autres personnes que lui. Les autres étaient moins bien que lui pour elle! Ce n'était pas juste. Ils n'avaient pas le droit de lui voler Esther.
Cela lui valut beaucoup de pleurs, beaucoup de mouchoirs, puis finalement Esther et lui parlèrent, s'engueulèrent et ainsi finit cette amitié.
Son CM2 ne comporta aucun évènement notable.
Puis la lettre de Poudlard arriva. Ses parents, y ayant eux-mêmes fait leur scolarité, ne furent pas surpris le moins du monde. Ed déclara qu'il n'en avait "rien à foutre" mais que c'était "toujours mieux que d'aller dans le collège à côté où [il] serait obligé de voir des gens qu'[il] connaissait".
Il n'avait jamais été en très bon terme avec ses parents. Il leur témoignait de l'indifférence, mais s'inquiétait pour eux. Eux, il le regardait de temps en temps et se mettait ensuite à parler de lui comme s'il n'était pas là. "Oh, c'est vraiment étrange qu'il n'ait toujours pas d'amis...Et il n'est même pas amoureux! Mais à son âge, on est toujours, amoureux, tout le temps!". Il avait l'impression qu'ils regrettaient de ne pas avoir fait de deuxième enfant pour rattraper le ratage du premier. Mais c'était un peu tard, il y avait de la ménopause dans l'air.
Bien sûr, c'était son point de vue. Il savait pertinemment que ses parents s'inquiétaient simplement pour lui, mais il avait fini par avoir envie de pleurer chaque fois qu'il parlait avec eux, ce qui devenait perturbant. Toujours des reproches, jamais un compliment, ou si peu; Et surtout, ces compliments ne portaient jamais sur autre chose que le travail scolaire. Le travail scolaire le travail scolaire le travail scolaire. A croire que c'était out ce qu'il y avait d'important. Qu'il ne servait à rien s'il n'avait pas de bonnes notes.
"- Alors, tu as eu combien?
- 16.
- C'est la meilleure note?
- Oui.
- Bon, ça va."
Pas bravo, pas c'est bien. C'était normal. Et ses notes devinrent un temps sa seule source de satisfaction. Il n'avait pas d'amis, se sentait mal avec ses parents. Donc il essayait d'être le meilleur, pour exister.
Ca lui passa, mais lentement.
Il entra à Poudlard.
Sa première année se passa bien, il passa sans problème, les cours lui apportèrent les résultats qu'il escomptait, il n'avait pas d'amis, il envoyait de temps à autres un courrier à ses parents.
La deuxième fut moins évidente. Les notes suivaient toujours, mais il avait un "copain". Un garçon très gentil, un peu idiot mais gentil; le garçon en question l'aimait beaucoup et par conséquent le suivait partout. Ed en eut rapidement marre, devint distant et finalement ils ne se parlèrent plus. Il n'essaya pas d'en parler par hibou à ses parents, de leur dire à quel point ça l'avait fait souffrir et combien il se sentait mal; ça n'aurait servi à rien.
La troisième se déroula comme la première. Rien ne se passa, à part le jour ou un chaudron explosa en cours de potions et qu'il du aller d'urgence à l'infirmerie avec un bras en train de disparaître. Et puis il parlait avec les autres, il leur parlait. Il ne se sentait pas proche d’eux du tout, mais il arriver à supporter leur présence, et mieux encore à leur faire la conversation. Mais c’était juste pour ne pas s’ennuyer.
Puis vint la quatrième année. Au début, tout allait bien. Les années précédentes, il y avait survécu. Il avait même réussi à sortir vivant des vacances d'été avec ses parents à chaque fois, même si rester dans la même pièce qu'eux devenait chaque fois plus difficile.
Ses notes au beau fixe, des parents et des professeurs satisfaits. Puis un jour quelqu'un renversa son sac devant lui. Prenant son courage à deux mains, il l'aida à ramasser son contenu. le garçon leva la tête, le regarda, bafouilla un vague "merci" et s'en fut. Il devait être en troisième année.
Il ne le revit pas pendant une semaine. Alors il se mit à tenter de l'apercevoir. Un jolie tignasse blonde passait devant lui et il sentait son coeur - ou ses tripes - faire un bond dans a poitrine - ou ailleurs.
Puis finalement ses recherches portèrent leurs fruits et il finit par lui tomber dessus à la bibliothèque.
Il s'avança vers lui sans la plus petite idée de ce qu'il allait lui dire. En plus il avait peur, peur, peur, terriblement peur. Alors il lui demanda son nom. le garçon se retourna et sursauta en le voyant, puis lui répondit qu'il s'appelait Matthew, mais "t'as qu'à m'appeler Matt, comme tout le monde." "J'ai pas envie de faire comme tout le monde." "Moi non plus je ne veux pas que tu sois tout le monde. Personne ne m'a jamais appelé Matt".
Il négligea un certain temps d'écrire à ses parents, qui lui envoyèrent une lettre furibarde sur le thème "Nous étions mort d'inquiétude". Il leur envoya n'importe quoi en réponse.
Matt. Matt et lui. Lui et Matt. Ils étaient amis. Oui, jusque là ça allait. Jusque là ça allait. le problème, c'était le reste. C'était pas ambigu, c'était explicite. Ca le faisait un peu flipper, Ed, du haut de ses quatorze ans. Mais Matt était tout stoïque, et calme, et toujours sans s'inquiéter.
Alors que l'inquiétude, chez Edward, allait grandissant. Qu'est-ce qui lui faisait peur? Matt, ses sentiments? Perdre un ami? Changer ses habitudes?
Puis un jour, ce fut la fin de l'année. Ils ne l'avaient pas vue venir. Il lui avait dit qu'il partirait, mais même s'il lui avait dit, pour Ed ça restait difficile à accepter. Ca avait été difficile à accepter sur le moment aussi, dans la salle de classe vide. Il avait laissé tomber le flacon en verre qu'il tenait à la main. Matt avait dit "Désolé". Mais il n'avait pas à être désolé, il ne fallait pas. Il essaya de marcher jusqu'à lui, mais il avait renversé quelque chose par terre. Il trébucha, tomba et cria. Il y avait du verre par terre. Et maintenant une cicatrice croissant de Lune. Matthew, pourquoi partait-il ? Il n’avait pas voulu lui dire. Il ne savait pas pourquoi mais il s’en voulait de se départ. Il ne s’en sentait pas responsable, mais il avait le sentiments qu’il aurait peut-être pu le retenir, d’il avait essayé, s’il n’avait pas été un imbécile profond qui avait peur de ce qu’il voulait. Merde.
Plus de Matt. Des vacances d'été désespérantes, des parents désespérants. Il avait pleuré, beaucoup. Il s'était endormi tard, souvent. Il avait les yeux rouges et des cernes, tout le temps, et une humeur en conséquence de son manque de sommeil. Ca n'avait pas arrangé ses relations familiales.
Qu'est-ce qui pourrait lui arriver d'encore pire pendant la cinquième?

Famille :

Son père, Eric Lane, travaille à Gringotts et sa mère au ministère de la magie.
Ils se sont rencontrés lors d'un voyage d'affaire commun aux deux. Finalement il se sont mariés, ont fait un gosse, un congé de maternité et ont recommencé à travailler.
Sa mère est parfois hystérique, et son père par contre st assez amorti. Ils se compensent.
Il n’a n i frère ni sœur, et comme il paraît que sa mère à deux frères, il doit avoir des oncles, peut-être même des cousins ou cousines, mais il ne les a jamais vu, ou alors il ne s’en souvient pas.
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Choixpeau magique
Petit nouveau /!\ Ne pas taper /!\ XD
Choixpeau magique


Nombre de messages : 25
Date d'inscription : 19/08/2005

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MessageSujet: Re: Edward Lane   Edward Lane Icon_minitimeDim 31 Déc - 10:43

Hum... tu te fais passer pour quelqu'un d'insensible... tu as du mal avec les sentiments... tu sembles vivre chaque jours comme si c'était un enfer... comme si demain était aujourd'hui mais en pire... je ne voudrais pas te mettre dans une maison où tu risques de détester tout le monde... mais je sais que dans chaque maison, tu n'aimeras pas le contact... tu es quelqu'un de très difficile à placer... Poufsouffle n'est certainement pas pour toi... Serdaigle non plus, même si tu es aussi intelligent... Gryffondor ? Tu n'es pas loyal, tu es possessif... tu n'es pas courageux... tu t'approches plus du dicton "trois grains de folie pour un de courage". Non définitivement, je ne vois qu'une seule solution, tu iras à SERPENTARD.
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